Photos centre de formation avril 2024
Jardin biologique mai 2024
Menuiserie centre de formation mai 2024
Toiture centre de formation mai 2024
Fédération genevoise mai 2024
APAF’s work in the Niger Delta region is vital
APAF(The Association for the Promotion of Fertilizer Trees, Agroforestry, and Forestry) is a non-profit organization dedicated to promoting sustainable agricultural practices in the Niger Delta region of Nigeria. APAF Niger Delta will focus on the planting and maintenance of fertilizer trees to improve soil fertility and increase crop yields. Additionally, APAF promotes agroforestry practices, integrating trees and shrubs into agricultural landscapes for benefits such as improved soil health, increased biodiversity, and enhanced water retention.
Implementing APAF’s initiatives in the Niger Delta region is crucial due to challenges like soil degradation, deforestation, and low agricultural productivity. By promoting fertilizer tree planting and agroforestry, APAF can address these issues and enhance agricultural production sustainability in the region.
APAF’s work can positively impact local communities by increasing crop yields, improving soil health, and providing economic stability through additional income sources like fruits, nuts, and timber from agroforestry practices.
The implementation of APAF’s initiatives in the Niger Delta region is vital for sustainable agriculture, improved soil fertility.
From Renny Ofoni for proposed APAF Niger Delta
Le travail de l’APAF dans la région du Delta du Niger est vitale
L’APAF (Association pour la promotion des arbres fertilisants, de l’agroforesterie et de la foresterie) est une organisation à but non lucratif dédiée à la promotion de pratiques agricoles durables dans la région du delta du Niger au Nigeria. L’APAF Delta du Niger se concentrera sur la plantation et l’entretien d’arbres fertilisants pour améliorer la fertilité des sols et augmenter les rendements des cultures. De plus, l’APAF promeut les pratiques agroforestières, intégrant des arbres et des arbustes dans les paysages agricoles pour des avantages tels qu’une meilleure santé des sols, une biodiversité accrue et une meilleure rétention de l’eau.La mise en œuvre des initiatives de l’APAF dans la région du delta du Niger est cruciale en raison de défis tels que la dégradation des sols, la déforestation et la faible productivité agricole. En promouvant la plantation d’arbres fertilisants et l’agroforesterie, l’APAF peut résoudre ces problèmes et améliorer la durabilité de la production agricole dans la région.Le travail de l’APAF peut avoir un impact positif sur les communautés locales en augmentant les rendements des cultures, en améliorant la santé des sols et en assurant la stabilité économique grâce à des sources de revenus supplémentaires comme les fruits, les noix et le bois issus de pratiques agroforestières.La mise en œuvre des initiatives de l’APAF dans la région du delta du Niger est vitale pour une agriculture durable et une meilleure fertilité des sols.
De Renny Ofoni pour le projet APAF Delta du Niger
Le projet pour l’agro foresterie dans l’Etat du Delta.
André Vieke présent à la séance de la Fédération genevoise de coopération, organisée par la Ville de Genève
Photos André Vieke
Don de Chantal Lang
“Ce ne sont pas toutes les photos de la ferme et des travaux en cours au centre de formation professionnelle.
Comme toutes les fermes ne sont pas situées au même endroit, j’irai dans l’autre plantation et prendrai d’autres photos.
J’essaie de maintenir le contrôle des mauvaises herbes à la ferme.
Comme la ferme est répartie sur plusieurs sites, nous sommes constamment en mouvement et n’utilisons pas de machines.”
Reny
Une video avec Aminata Traoré, voix malienne engagée et critique , militante altermondialiste, essayiste et ex-ministre de la culture du Mali.
Un article du MATIN – publié le 19 mars 2024
Le processus normal de décomposition a pu être maintenu en augmentant la diversité des plantes et la complexité des communautés de décomposeurs (insectes, mille-pattes, acariens etc.).
Une plus grande biodiversité permet aux forêts de mieux résister aux effets du changement climatique et de continuer à assurer les mêmes services, à commencer par le recyclage du carbone et de nutriments, selon deux études publiées lundi.
«Quand il y a plus de biodiversité, on peut maintenir un même fonctionnement de l’écosystème malgré des conditions climatiques plus extrêmes. En favorisant une plus forte biodiversité, on peut atténuer les conséquences du changement climatique», résume à l’AFP Stephan Hättenschwiler, directeur de recherche au CNRS, qui a participé aux deux études.
La première, publiée dans la revue «Global Change Biology» par des chercheurs basés en Allemagne et en France, montre par voie de modélisation que la diversité végétale d’une forêt ou d’une prairie la protège des extrêmes de température, favorisant ainsi les processus écosystémiques telle que la décomposition. Le sol peut donc notamment continuer à jouer son rôle de puits de carbone.
La décomposition des parties mortes des plantes, telles que les feuilles qui tombent à l’automne, constitue en effet «le carburant» des cycles du carbone et de l’azote, un processus indispensable au bon fonctionnement des écosystèmes et au stockage naturel du carbone dans les sols.
La seconde étude, publiée dans la revue «PNAS» par des scientifiques basés en Chine et en France, est pour sa part expérimentale. Ils ont observé les effets de différents mélanges de feuilles mortes et d’organismes décomposeurs dans différents types de forêts, soumis à des conditions de sécheresse. Celle-ci a normalement tendance à ralentir la décomposition.
Mais l’étude a montré que «la biodiversité a le potentiel de compenser les effets négatifs de la sécheresse», souligne Stephan Hättenschwiler. Le processus normal de décomposition et de recyclage des éléments a en effet pu être maintenu en augmentant la diversité des plantes et la complexité des communautés de décomposeurs (insectes, mille-pattes, acariens etc.) malgré un impact négatif de la sécheresse.
«Ces découvertes suggèrent que favoriser la biodiversité représente un levier important pour maintenir des fonctions essentielles des écosystèmes avec le changement climatique actuel», concluent les auteurs dans l’étude. «Au lieu de favoriser des monocultures, il faut faire tout pour que nos forêts soient plus diverses», ajoute Stephan Hättenschwiler. «Ce serait une erreur d’aller vite et planter des monocultures pour augmenter le stockage du carbone sur une surface importante», ajoute-t-il.
En France, les puits de carbone forestier fonctionnent moins bien qu’anticipé. L’État a décidé de planter un milliard d’arbres d’essences diversifiées adaptées au climat futur sur une décennie.
Le Festival du film et forum international sur les droits humains (FIFDH) se tient à Genève du vendredi 8 au dimanche 17 mars 2024
Télécharger le programme en cliquant sur l’image ci-dessous :
Moments forts du FIFDH de cette année 2024
En lien avec des pays soutenus ou des organisations soutenues par la DGVS (Délégation Genève Ville solidaire)
Programme complet du FIFDH – Du vendredi 8 au dimanche 17 mars 2024 : https://fifdh.org/festival/ Penser à réserver à l’avance sur le site du festival
Programme par jour, par film ou par événement
Regardez aussi le programme spécifiques des Impacts days, avec 16 films ou projets de films avec des rencontres les 11 et 12 mars avec des équipes de réalisation et de production de films, des bailleurs de fonds (50’000.- dès l’an dernier sur des fonds de la DGVS) et des ONG, pour mettre sur pied des campagnes d’information et de plaidoyer autour de certains films. La sélection est vraiment percutante. https://fifdh.org/pro/
Et si vous connaissez des enseignant-e-s, il y a le programme des séances scolaires: https://fifdh.org/ecoles/
Carte blanche à Rokhaya Diallo – Équité climatique : femmes en première ligne
https://fifdh.org/festival/programme/2024/forum/carte-blanche-a-rokhaya-diallo-equite-climatique-femmes-en-premiere-ligne/
DIMANCHE 10 MARS – 19H30
ESPACE PITOËFF – THÉÂTRE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
Les pays dits occidentaux ont historiquement contribué de manière disproportionnée aux émissions globales et le lourd impact du changement climatique affecte davantage les régions du monde les moins polluantes, accentuant les inégalités et la vulnérabilité des populations déjà marginalisées.
Selon l’ONU, 80% des déplacé·es climatiques sont des femmes. Si elles ploient de manière disproportionnée sous le poids de ces variations climatiques, elles sont aussi en première ligne pour l’entraver, comme le disait la Prix Nobel de la paix kényane Wangari Maathai. Mieux placées que quiconque pour identifier les conséquences dévastatrices des écocides, notamment en matière de santé reproductive et de sécurité alimentaire, elles sont pourtant exclues des décisions qui façonnent leur avenir. Comment placer leurs voix au centre des luttes environnementales ?
Au Kenya, les Turkanas sont directement touché·es par le changement climatique. Filmé pendant quatre ans, Between the Rains évoque avec sensibilité et finesse le passage à l’âge adulte de Kole, un jeune berger, dans un paysage décimé par la sécheresse.
Co-présenté avec Public Eye et le Service Agenda 21 – Ville durable de la Ville de Genève
INTRODUCTION
Adrià Budry Carbó
Enquêteur matières premières et finance pour Public Eye et journaliste d’investigation
Alfonso Gomez
Conseiller administratif de la ville de Genève, chargé du département des finances, de l’environnement et du logement
DISCUSSION
Aminata Dramane Traoré
Ancienne ministre du Mali et écrivaine
Samuel Ekomol, Producteur de “Between the Rains” et activiste Turkana (Kenya)
Luiza Cavalcante – Agricultrice brésilienne et militante féministe
MODÉRATION
Rokhaya Diallo – Journaliste, autrice et réalisatrice
LANGUE(S)
Français, anglais
Avec le film :
D’ANDREW H. BROWN ET MOSES THURANIRA
Between the Rains
Au Kenya, les Turkanas sont directement touché·es par le changement climatique. Les sécheresses de plus en plus fréquentes ont un impact sur leur vie, augmentant les tensions et conflits. Filmé pendant quatre ans, Between the Rains évoque avec sensibilité et finesse le passage à l’âge adulte de Kole, un jeune berger en passe de devenir guerrier. Le jeune homme expérimente, entre autres, le doute, le deuil ou encore la violence dans un paysage décimé par la sécheresse. Comme un signal d’alarme, la photographie splendide du film met en exergue les conséquences dévastatrices du changement climatique sur cette communauté.
PREMIÈRE ROMANDE
SECTION : Compétition – Documentaire de création
PAYS : Kenya
LANGUES ORIGINALES : Turkana, swahili
SOUS-TITRAGES : anglais, français 82’
ANNÉE 2023 – RÉALISATION Andrew H. Brown Moses Thuranira
WORLD SALES
Journeyman Pictures
Nourrir l’humanité et préserver la biosphère
https://fifdh.org/festival/programme/2024/forum/nourrir-lhumanite-et-preserver-la-biosphere/
MERCREDI 13 MARS – 18H30
ESPACE PITOËFF – GRANDE SALLE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
Nourrir 8 milliards d’êtres humains sans nuire à la planète est un enjeu civilisationnel. Alors que l’agriculture conventionnelle détruit les écosystèmes, comment repenser notre système alimentaire et adopter des pratiques agricoles durables ?
L’agriculture dite conventionnelle, basée sur la monoculture et l’utilisation intensive de produits chimiques, détruit progressivement les écosystèmes essentiels à notre production alimentaire, mettant en péril notre propre existence et celle des autres espèces.
Repenser le système en place est impératif. La solution réside-t-elle dans l’innovation technologique ? Des changements de comportements alimentaires seront-ils indispensables ? Partout dans le monde, à différentes échelles, des individus articulent de nouvelles politiques agricoles à même de préserver notre planète et d’assurer la sécurité alimentaire.
Dans un second opus rythmé, le film Food, Inc. 2 poursuit une grande enquête sur le fonctionnement et les dérives du système alimentaire mondial.
Co-présenté avec Helvetas et la Délégation Genève Ville Solidaire (DGVS), organisé avec le soutien de la Fondation Leenards
Melissa Robledo
Réalisatrice de “Food, Inc.2”
Robert Kenner
Réalisateur de “Food, Inc.2”
DISCUSSION
George Monbiot
(en visioconférence) Auteur, éditorialiste du Guardian et militant écologiste
Louise Mabulo
Militante écologiste et fondatrice de The Cacao Project
Rupa Mukerji
Autrice principale des 5e et 6e rapports du GIEC et directrice Advisory Service chez Helvetas
MODÉRATION
Bruno Giussani
Ancien président FIFDH, auteur et curateur de TED Countdown
LANGUE(S) Français, anglais
Avec le film :
DE ROBERT KENNER ET MELISSA ROBLEDO
Food, Inc. 2
Dans un deuxième opus rythmé, Food, Inc. 2 continue son enquête sur le fonctionnement du système alimentaire mondial et américain. Entre industrialisation, centralisation et illusion, la grande distribution étouffe toute concurrence. Le film nous plonge notamment dans le marché de l’alimentation de substitution à la viande ; des start-ups proposant des aliments innovants comme des ailes de poulet à base de plantes ou du lait fabriqué sans vaches. Dans quelle mesure ces nouveaux aliments constituent-ils une révolution du système alimentaire ?
PREMIÈRE SUISSE
SECTION : Documentaire – Hors-Compétition
PAYS : États-Unis
LANGUE ORIGINALE : anglais
SOUS-TITRAGE : français
DURÉE
94’
ANNÉE
2023
RÉALISATION
Robert Kenner
Melissa Robledo
WORLD SALES
Dogwoof
La procédure d’asile en Suisse à l’ère du soupçon
https://fifdh.org/festival/programme/2024/forum/la-procedure-dasile-en-suisse-a-lere-du-soupcon/
LUNDI 11 MARS – 19H00
ESPACE PITOËFF – GRANDE SALLE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
La politique d’asile compte parmi les thèmes politiques les plus ardemment débattus. Et pourtant, nous n’en savons pratiquement rien. Quelles réalités se cachent dans la boîte noire de la procédure d’asile en Suisse ?
Principe clé des droits humains, le droit d’asile subit les attaques politiques depuis plus de 25 ans. Un climat qui se reflète dans la procédure d’asile : derrières les portes closes du Secrétariat d’État aux migrations (SEM), les demandeur·ses d’asile semblent faire face au soupçon généralisé. Avec de sérieuses conséquences sur la santé mentale de personnes déjà en situation de vulnérabilité.
Dans le film L’Audition, quatre demandeur·ses d’asile revivent leur entretien de procédure d’asile. Que se passe-t-il lorsque votre avenir dépend de votre capacité à raconter votre propre vie de manière convaincante ?
Co-présenté avec Caritas Suisse et le CSP Centre social protestant Genève
Lisa Gerig
Réalisatrice de “L’Audition”
DISCUSSION
Guillaume Bégert
Responsable de la coordination juridique pour les personnes en procédure d’asile pour Caritas Suisse
Maurizio Miceli
Chef de la région Asile Suisse Romande, Secrétariat d’Etat aux Migrations
Pascal Onana
Protagoniste du film “L’Audition”
Living Smile Vidya
Protagoniste de “l’Audition”, actrice et activiste
Raphaël Rey
Chargé d’information du Service réfugiés du CSP
MODÉRATION
Tania Sazpinar
Journaliste, RTS
DE LISA GERIG
L’ Audition
Quatre demandeur·ses d’asile revivent leur audition de procédure d’asile face aux autorités. Dans une mise en scène sobre, le·la spectateur·rice se rend compte du poids des procédures et des enjeux vitaux pour les demandeur·ses d’asile. Lisa Gerig soulève subtilement des questions essentielles : que se passe-t-il lorsque votre avenir dépend de votre capacité à raconter votre propre vie de manière convaincante ? Une démonstration tout en finesse des contradictions du système d’asile suisse.
Sortie en salles le 27 mars 2024.
SÉANCES SUPPLÉMENTAIRES POUR CE FILM
SECTION : Compétition – Documentaire de création
PAYS : Suisse
LANGUES ORIGINALES : allemand, anglais, français, tamoul, dari
SOUS-TITRAGES : français, anglais, allemand
DURÉE
81’
ANNÉE
2023
RÉALISATION
Lisa Gerig
DISTRIBUTION
Outside The Box
Regards et voix palestinien·nes
https://fifdh.org/festival/programme/2024/forum/regards-et-voix-palestinien%c2%b7nes/
DIMANCHE 10 MARS – 19H30
ESPACE PITOËFF – GRANDE SALLE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
Comment représente-t-on son pays, victime de l’occupation depuis des décennies et Gaza dévasté par la guerre, quand les bombes continuent de tomber ? Rencontre avec les cinéastes palestinien·nes qui portent à l’écran les récits d’un peuple en lutte.
Quels mots et quelles images peut-on trouver pour décrire la situation d’une population accablée par la violence et la frustration, alors que chaque jour est marqué par le deuil et la perte ?
Les cinéastes palestinien·nes sont confronté·es à cette réalité depuis des décennies. Certain·es sont resté·es, d’autres ont quitté le pays, mais tous et toutes contribuent, avec leurs films, à rendre visible l’histoire et les récits d’un peuple qui résiste malgré l’occupation et les difficultés quotidiennes. Dans le contexte dramatique actuel, quel est le rôle du cinéma et des histoires qu’il continue à raconter ? Rencontre avec celles et ceux qui portent à l’écran et diffusent ces récits à travers le monde, alors que le sort de leur pays est plus incertain que jamais.
Life is Beautiful raconte l’expérience de Mohamed, cinéaste gazaoui bloqué en Norvège alors qu’il accompagnait son film lors d’un festival, et que les frontières de Gaza ont été fermées. Un film personnel sur les notions d’identité et d’appartenance.
Mohamed Jabaly
Réalisateur de “Life is Beautiful”
Farah Nabulsi
Réalisatrice de “The Teacher”
Motaz Azaiza
Photojournaliste palestinien
Life is beautiful
Al haya helwa
En 2014, Mohamed Jabaly est invité en Norvège pour présenter son film Ambulance. Pendant son séjour, les frontières de Gaza ferment pour une durée indéterminée. Les conséquences sont nombreuses et face au refus de la Norvège d’accepter son passeport palestinien, Mohamed devient apatride.
Life is Beautiful suit avec émotions le parcours de Mohamed pour obtenir un visa mais surtout pour rentrer chez lui. En passant du rire aux larmes, il nous emmène dans son quotidien norvégien, entre promotion de son film, découverte du pays et douleur dans les échanges avec sa famille qu’il ne peut rejoindre. Primé à l’IDFA en 2023 comme meilleure réalisation en compétition internationale, ce film est un appel à la liberté de mouvement, mais surtout à la liberté de poursuivre ses rêves.
PREMIÈRE SUISSE
SECTION : Compétition – Documentaire de création
PAYS : Norvège, Palestine, Qatar
LANGUES ORIGINALES : norvégien, anglais, arabe
SOUS-TITRAGES : anglais, français
DURÉE
90’
ANNÉE
2023
RÉALISATION
Mohamed Jabaly
WORLD SALES
First Hand Films
Israël-Palestine : quels scénarios pour l’avenir ?
Comment imaginer qu’Israélien·nes et Palestinien·nes puissent vivre un jour en paix, alors qu’au moment où ces lignes sont écrites, les mort·es s’ajoutent encore aux mort·es ? Tandis qu’un embrasement régional ne peut être exclu, comment sortir de l’impasse ?
Au-delà de l’effroyable catastrophe humaine, le dernier cycle de violence est un traumatisme profond, qui s’ajoute à un cycle de mort et de destruction qui paraît sans fin. Ce drame, par sa gravité même et son potentiel de déflagration régionale, a rebattu les cartes. Différentes médiations menées notamment par le Qatar, les États-Unis et l’Égypte sont en cours pour ramener le calme et relancer un processus de paix. En dépit des discours de haine, des organisations continuent à travailler – sans naïveté – pour construire un avenir commun sur une terre trop promise. Les défis sont considérables, chacun·e le sait. Mais c’est la seule alternative à la poursuite de la guerre et au malheur de deux peuples.
DISCUSSION
Ali Abu Awwad – Militant palestinien pour la paix
Jean-Pierre Filiu – Professeur en histoire du Moyen-Orient, Sciences Po, Paris
May Pundak – (en vidéoconférence) Activiste israélienne et directrice de “A land for all”
MODÉRATION
Pierre Hazan
Conseiller auprès du Centre pour le dialogue humanitaire, auteur de “Négocier avec le diable”
BROKEN – A Palestinian Journey Through International Law
DOCUMENTAIRE – HORS-COMPÉTITION
Un mur de plus de 700km de long sépare la Palestine d’Israël, une construction jugée illégale par la Cour internationale de Justice. Malgré l’interdiction, la construction du mur s’est poursuivie. BROKEN – A Palestinian Journey Through International Law mobilise les récits et témoignages d’expert·es en droit, de juges de la Cour internationale de Justice, de diplomates et même de l’officier militaire israélien qui a commandité la construction du mur, pour démontrer les contradictions de l’application du droit international.
BROKEN – A Palestinian Journey Through International Law a été inspiré et produit par un ancien expert des Nations Unies chargé de surveiller les conséquences humanitaires du mur.
SECTION : Documentaire – Hors-Compétition
PAYS : Suisse
LANGUE ORIGINALE : anglais
SOUS-TITRAGE : français
DURÉE
52’
ANNÉE
2018
RÉALISATION
Mohammed Alatar
PRODUCTION
AYANT DROIT
AdvocacyProductions Sàrl
Afghanistan : l’apartheid du 21e siècle ?
MARDI 12 MARS – 19H30
ESPACE PITOËFF – THÉÂTRE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
Depuis la prise de pouvoir des talibans en août 2021, la situation des femmes afghanes n’a cessé de se détériorer. Quels sont les outils de la communauté internationale pour lutter contre la discrimination basée sur le genre, érigée en projet politique ? La situation devrait-elle être reconnue comme un « apartheid de genre » ?
Alors que de nouveaux décrets, politiques et pratiques accroissent la mainmise exercée par les talibans sur la moitié de la population, quels sont les outils de la communauté internationale pour lutter contre la discrimination institutionnalisée basée sur le genre, érigée en projet politique ? La situation des femmes en Afghanistan devrait-elle être reconnue comme un « apartheid de genre » ?
An Unfinished Journey suit le quotidien de quatre dirigeantes afghanes qui luttent depuis l’exil pour maintenir l’attention du monde sur le sort des femmes en Afghanistan.
Co-présenté avec le Service de la Solidarité internationale – Canton de Genève
Béatrice Ferrari
Directrice de la Direction des affaires internationales (DAI), Canton de Genève
DISCUSSION
Aeyliya Husain
Co-réalisatrice de “An Unfinished Journey”
Nargis Nehan
Militante et ancienne ministre afghane
Amie Williams
Co-réalisatrice de “An Unfinished Journey”
Pooja Patel
Directrice exécutive adjointe, ISHR
MODÉRATION
Virginie Mangin
Journaliste à Swissinfo
LANGUE(S)
Français, anglais
D’AEYLIYA HUSAIN ET AMIE WILLIAMS
An Unfinished Journey
Forcées de fuir leur pays après la prise de pouvoir par les talibans en 2021, quatre dirigeantes afghanes luttent pour maintenir l’attention du monde sur la situation des femmes en Afghanistan. Elles ne peuvent que constater l’usurpation de leur pouvoir et le démantèlement de deux décennies de progrès. Depuis leurs lointains pays d’exil, ces quatre femmes – anciennes parlementaires, ministres et journalistes – voient les talibans priver les femmes et les jeunes filles de leur droit à l’éducation, au travail et à la participation à la société. N’étant plus en position de force, elles sont obligées de se réinventer pour poursuivre la lutte en faveur d’un Afghanistan libre et juste pour tous et toutes.
PREMIÈRE MONDIALE
SECTION : Compétition – Focus
PAYS : Canada, Grèce, France
LANGUES ORIGINALES : dari, pachto, anglais
SOUS-TITRAGES : anglais, français
Métis du Congo belge : crime contre l’humanité ?
MERCREDI 13 MARS – 19H00
ESPACE PITOËFF – THÉÂTRE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
Arrachées à leur mère, coupées de leur père et placées de force dans des institutions catholiques au Congo belge, plusieurs métisses congolaises demandent réparation à la Belgique. Jusqu’ici, elles n’ont obtenu que des excuses.
Durant leur enfance, cinq femmes ont été arrachées de force à leur mère congolaise et séparées de leur père belge. Victimes d’une violence coloniale s’enchevêtrant jusque dans l’intime, elles furent placées dans des institutions religieuses étant « les enfants du péché », et y subirent de nombreux sévices. Aujourd’hui ces cinq femmes demandent justice et réparation à l’État belge pour crime contre l’humanité. Pour ces crimes coloniaux, elles n’ont reçu, jusqu’alors, que des excuses mais aucune indemnisation. L’affaire est désormais en appel.
On estime à ce jour qu’environ 15’000 métis·ses auraient connu le même sort.
Métis, les enfants cachés de la colonisation rassemble les témoignages de six métis·ses en nous plongeant dans leur douloureuse quête d’identité et de vérité.
Co-présenté avec TV5MONDE
Discussion :
Monique Bitu Bingi – Plaignante du procès contre l’État Belge
Emmanuelle Saada – Historienne à l’Université de Columbia
Michèle Hirsch – Avocate
MODÉRATION
Dominique Tchimbakala
Journaliste, TV5MONDE
LANGUE(S)
Français, anglais
DE DOMINIQUE REGUEME
Métis, les enfants cachés de la colonisation
Lors de la colonisation belge au Congo, Rwanda et Burundi, des enfants métiss·es né·es de l’union d’un père belge et d’une mère africaine ont été arraché·es à leur famille, et sciemment isolé·es par l’État dans des internats spécialisés. Iels sont des milliers à avoir été victimes de cette ségrégation durant la présence belge, illustrant une des facettes de la violence coloniale infligée dans cette région.
À la veille de l’indépendance, certain·es ont même fait l’objet d’un exil forcé et ont été définitivement séparé·es de leur mère, de leur culture et de leurs racines. Iels ont été déplacé·es vers la Belgique et adopté·es dans des familles d’accueil. Ce documentaire rassemble les témoignages poignants de six d’entre elles·eux, plongeant dans leur douloureuse quête d’identité et de vérité.
PREMIÈRE SUISSE
SECTION : Documentaire – Hors-Compétition
PAYS : Belgique, France
LANGUE ORIGINALE : français
SOUS-TITRAGE : anglais
DURÉE
58’
ANNÉE
2022
RÉALISATION
Dominique Regueme
AYANT DROIT
Supermouche Productions
Café des Libertés – Les activistes climatiques face aux multinationales
VENDREDI 15 MARS – 18H30
ESPACE PITOËFF – CAFÉ DU FESTIVAL
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
GRATUIT
Les multinationales commettent impunément, et de manière trop systématique, des violations des droits humains. Face aux obstacles pour légiférer en la matière, quelles sont les possibilités d’action dont disposent les activistes climatiques ?
Les multinationales commettent impunément, et de manière trop systématique, des violations des normes environnementales et des droits humains. Face à cela, une législation forte s’impose et plusieurs projets sont en cours, notamment dans l’UE et en Suisse. Indépendamment de la législation en place, les activistes s’engagent pour la protection des droits humains face aux activités commerciales, souvent au prix de leur propre sécurité. Quelles sont les possibilités d’action dont iels disposent face aux entreprises multinationales et aux États ? Cette table ronde donne la parole à des militant·es et à des expert·es, afin de discuter du rôle crucial de l’activisme dans cette course contre la montre pour la justice climatique et la responsabilisation des entreprises.
Événement co-organisé par le Codap et Peace Brigades International
Adrià Budry Carbó
Emiliana Rickenmann
Adel Ramdani
vice-président de Swiss Youth for Climate
MODÉRATION
Charlotte Frossard
Journaliste-rédactrice, Radio Cité Genève
Frontières et racisme : une intersection violente
VENDREDI 15 MARS – 18H30
FONCTION: CINÉMA
RUE DU GÉNÉRAL-DUFOUR 16, 1211 GENÈVE
GRATUIT
En s’appuyant sur les enquêtes de Border Forensics, cette table ronde explore la manière dont le racisme structure la violence aux frontières de l’Europe et les différentes stratégies permettant de documenter et de contester ces formes de violence. Des frontières externalisées de l’UE au centre des villes suisses et européennes, les personnes migrantes et racisées sont surexposées à la violence. S’appuyant sur les enquêtes de Border Forensics, cette table ronde explorera l’intersection entre racisme structurel et frontières étatiques et ses conséquences violentes pour les personnes migrantes. Documenter les pratiques violentes en utilisant différents types de données (images, témoignages, statistiques, etc.) est essentiel pour les contester, notamment, mais pas exclusivement, devant les tribunaux. Comment limiter le risque de voir ces stratégies de documentation reproduire la déshumanisation des personnes racisées ?
Autres débats avec le service Agenda21 Ville durable :
Qui gardera les gardiens ?
SAMEDI 16 MARS – 14H00
ESPACE PITOËFF – GRANDE SALLE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
Le recours excessif à la force par la police, alimenté par le racisme, est un problème systémique. Comment vivre dans une société pacifique quand les personnes garantissant notre sécurité constituent une menace, et plus particulièrement pour les populations racisées ?
Le racisme systémique en Europe et aux États-Unis a des conséquences directes sur la vie quotidienne des personnes racisées. Du profilage racial, en passant par les violences policières pouvant entraîner la mort, les institutions policières sont souvent dénoncées et pourtant peu condamnées. Les gardien·nes de la paix doivent, théoriquement, assurer notre sécurité. Une force légitime est-elle pour autant juste ? Comment garantir que celles et ceux qui blessent ou tuent rendent des comptes ? Une société sans police est-elle possible ?
Entre restriction des libertés, recul du droit de manifestation, violences policières, islamophobie et racisme systémique, Le repli interroge le phénomène du repli identitaire en France.
Partenariat – Le FIFDH et l’OMCT s’engagent pour un monde où la dignité humaine est respectée. Soyez-vous aussi une force de changement :
Co-présenté avec l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) et le Service Agenda 21 – Ville durable de la Ville de Genève
INTRODUCTION
Alfonso Gomez
Conseiller administratif de la ville de Genève, chargé du département des finances, de l’environnement et du logement
Olivier Peter – Avocat spécialisé dans l’assistance aux défenseur·ses des droits humains, membre du comité de l’OMCT
DISCUSSION
Angela Davis – Ecrivaine, professeure de philosophie et militante des droits humains
Assa Traoré – Militante antiraciste, Comité vérité et justice pour Adama
Yasser Louati – Protagoniste de “Le repli” et militant pour les droits humains
André Kuhn – Professeur de droit pénal et de criminologie
MODÉRATION
Nesrine Slaoui
Journaliste, écrivaine et réalisatrice de documentaires
LANGUE(S)
Français, anglais
DE JOSEPH PARIS
Le repli
Entre restriction des libertés, recul du droit de manifestation, violences policières, islamophobie et racisme systémique, Le repli interroge le phénomène du repli identitaire en France. Le réalisateur, Joseph Paris, rencontre Yasser Louati, militant pour les droits humains. Ensemble, ils examinent la France des années 80 à aujourd’hui. Ils décortiquent les discours politiques et médiatiques en confrontant l’actualité aux archives. Pourquoi nos libertés ne cessent-elles de reculer ?
PREMIÈRE SUISSE
SECTION : Compétition – Focus
PAYS : France
LANGUE ORIGINALE : français
SOUS-TITRAGE : anglais
DURÉE
93’
ANNÉE
2023
RÉALISATION
Joseph Paris
WORLD SALES
Cats & Docs
Made in Bangladesh : la face cachée de nos vêtements
MERCREDI 13 MARS – 19H30
PROJECTION SUIVIE D’UNE DISCUSSION AUTOUR DES CONSÉQUENCES ÉCOLOGIQUES, ÉCONOMIQUES ET SOCIALES DE L’INDUSTRIE TEXTILE, ICI ET AILLEURS.
SALLE COMMUNALE DU PETIT-LANCY
AVENUE LOUIS-BERTRAND 7-9, 1213 PETIT-LANCY
GRATUIT
Inspiré d’une histoire vraie, Made in Bangladesh décrit la révolte de Shimu qui, malgré les obstacles, décide de créer un syndicat avec d’autres collègues. Un film fort qui interroge les conditions dans lesquelles sont fabriqués nos vêtements.
Avec 4,5 millions de salarié·es dans le secteur textile, dont 80% de femmes, les ouvrières sont en première ligne dans une société patriarcale répressive.
Inspiré de l’histoire vraie d’une ouvrière textile de Dacca, Made in Bangladesh décrit la révolte de Shimu qui décide contre vents, marées, menaces de la direction et colère du mari, de créer un syndicat avec d’autres collègues femmes. Un film fort qui interroge les conditions difficiles dans lesquelles sont fabriqués nos vêtements, mais aussi le courage de celles qui luttent pour faire valoir leurs droits.
En partenariat avec la Ville de Lancy dans le cadre de la campagne « Mode durable – Soyez la tendance » proposée par l’Unité de développement durable. Co-présenté avec Public Eye et organisé avec le soutien de la Fondation Barbour
Damien Bonfanti
DISCUSSION
Géraldine Viret
MODÉRATION
Milena Michoud
DE RUBAIYAT HOSSAIN
Made in Bangladesh
Un groupe d’ouvrier·ères d’une usine de vêtements de Dhaka, au Bangladesh, s’unit pour former un syndicat après que l’un d’entre eux a été tué dans un incendie. La jeune Shimu devient le leader de la protestation en obtenant des signatures, en capturant furtivement des images de son lieu de travail et en faisant pression sur les bureaucrates pour qu’iels ne s’attardent pas sur la paperasserie. Le directeur et le patron, qui n’hésitent pas à retenir les salaires des femmes ou à les forcer à dormir dans l’usine étouffante, combattent par tous les moyens les tentatives d’organisation du syndicat. De leur côté, le mari patriarcal de Shimu est aussi de la partie, même s’il est au chômage.
PREMIÈRE SUISSE
SECTION : Fiction – Hors-Compétition
PAYS : Bangladesh, France, Danemark, Portugal
LANGUE ORIGINALE : bengali
SOUS-TITRAGES : français, anglais
DURÉE
95’
ANNÉE
2019
RÉALISATION
Rubaiyat Hossain
Autres débats avec le service Agenda21 Ville durable :
Résistances féministes et LGBTQIA+ face au fascisme
https://fifdh.org/festival/programme/2024/forum/resistances-feministes-et-lgbtqia-face-au-fascisme/
SAMEDI 9 MARS – 19H00
ESPACE PITOËFF – THÉÂTRE
RUE DE CAROUGE 52, 1205 GENÈVE
La montée du fascisme se manifeste notamment par un renforcement des politiques criminalisant les identités jugées comme « déviantes ». La pensée queer, terreau central de résistance, pourrait-elle révolutionner la lutte contre le fascisme ?
Le gouvernement italien de Giorgia Meloni, du parti « post-fasciste » Fratelli d’Italia, a retiré les droits de milliers de parents homosexuels, revendiquant d’accorder « la priorité à la famille traditionnelle ». Piotr Tolstoï, le vice-président de la Douma a déclaré que « les LGBT, ce ne sont pas de pauvres homosexuels ou des lesbiennes contre qui, comme on nous dit, la Russie a décidé de se battre. C’est un projet bien organisé et planifié pour saper les sociétés traditionnelles de l’intérieur. »
Partout en Europe les partis d’extrême droite connaissent un regain de popularité et accèdent aux structures de pouvoir. Des dérives rappelant que le fascisme s’insère dans les sphères politiques, juridiques et médiatiques, mais également dans les sphères de l’intime. En première ligne de ces politiques répressives, les identités queers pourraient-elles être une force de résistance contre le fascisme ?
Co-présenté avec le Service Agenda 21 – Ville durable de la Ville de Genève
DISCUSSION
Costanza Spina
Journaliste et auteur·ice du “Manifeste pour une démocratie déviante”
Carlotta Vagnoli
Journaliste, écrivaine et militante féministe
Farrah Youssef
Militante transféministe et travailleuse associative
MODÉRATION
Anna Toumazoff
Militante féministe
LANGUE(S)
Français, anglais, italien
Avec le film :
D’AGNIIA GALDANOVA
Queendom
Gena, une artiste queer de 21 ans originaire de Magadan – un avant-poste glacial du goulag soviétique – crée des costumes d’un autre monde, et proteste contre le gouvernement dans les rues de Moscou. Elle met en scène des spectacles radicaux en public qui deviennent de nouvelles formes d’art et d’activisme. Elle souhaite ainsi modifier la perception qu’ont les gens de la beauté et du genre, et attirer l’attention sur le harcèlement dont est victime la communauté LGBTQIA+. Les spectacles – souvent sombres, étranges, évocateurs et queer – sont une manifestation du subconscient de Gena. Mais elles ont un prix.
SECTION : Documentaire – Hors-Compétition
PAYS : États-Unis, France
LANGUES ORIGINALES : russe, anglais
SOUS-TITRAGES : anglais, français
DURÉE
98’
ANNÉE
2023
RÉALISATION
Agniia Galdanova
Et des avant-premières qui sortiront sur les écrans :
D’AGNIESZKA HOLLAND
Green Border
DIMANCHE 10 MARS – 20H00
GRÜTLI – SALLE SIMON
RUE DU GÉNÉRAL-DUFOUR 16, 1204 GENÈVE
RÉSERVER
VENDREDI 15 MARS – 18H30
GRÜTLI – SALLE LANGLOIS
RUE DU GÉNÉRAL-DUFOUR 16, 1204 GENÈVE
RÉSERVER
Dans les forêts qui constituent la « frontière verte » entre le Bélarus et la Pologne, les réfugié·es du Moyen-Orient et d’Afrique qui tentent d’atteindre l’Union européenne sont pris·es au piège d’une crise géopolitique orchestrée par le dictateur du Bélarus Alexandre Loukachenko. Les réfugié·es sont attiré·es à la frontière par une propagande promettant un passage facilité vers l’UE. Pions dans cette guerre cachée, les vies de Julia, une activiste, de Jan, un garde-frontière, et d’une famille syrienne s’entrecroisent. Le nouveau film de la grande cinéaste Agnieszka Holland nous pousse à interroger nos consciences : « il ne sert à rien de s’engager dans l’art si l’on ne se bat pas pour poser des questions sur des problèmes importants, douloureux, parfois insolubles, qui nous placent devant des choix dramatiques. »
Sortie en salles le 27 mars 2024.
PREMIÈRE ROMANDE
SECTION : Compétition – Fiction
PAYS : Pologne, France, République tchèque, Belgique
LANGUES ORIGINALES : polonais, arabe, anglais, français
SOUS-TITRAGES : français, allemand, anglais
DURÉE
147’
ANNÉE
2023
RÉALISATION
Agnieszka Holland
DISTRIBUTION
trigon-film https://trigon-film.org/fr/films/green-border/
Goodbye Julia
Wadaean Julia
LUNDI 11 MARS – 18H30
GRÜTLI – SALLE LANGLOIS
RUE DU GÉNÉRAL-DUFOUR 16, 1204 GENÈVE
RÉSERVER
MERCREDI 13 MARS – 21H00
EN PRÉSENCE DU RÉALISATEUR
GRÜTLI – SALLE SIMON
RUE DU GÉNÉRAL-DUFOUR 16, 1204 GENÈVE
RÉSERVER
À la veille de la division du Soudan, Mona, ex-chanteuse, est rongée par la culpabilité d’avoir causé la mort d’un homme suite à un accident de voiture. Elle tente de se racheter en accueillant chez elle comme employée, Julia, la veuve du défunt, et son fils. Incapable de confesser son crime à son mari, et encore moins à Julia, Mona décide de laisser le passé derrière elle et de s’adapter à cette nouvelle situation. Elle ne se doute pas que l’agitation qui gagne tout le pays va la confronter à ses mensonges. Le film traite de la vie de deux femmes liées par des situations sociales et politiques inattendues. Porté par un désir de réconciliation et soutenu par l’actrice Lupita Nyong’o, le film est un voyage à travers la mémoire collective des peuples nord-soudanais et sud-soudanais.
Sortie en salles le 29 mai 2024.
PREMIÈRE SUISSE
SECTION : Compétition – Fiction
PAYS : Soudan, Égypte, Allemagne, France, Arabie saoudite, Suède
LANGUE ORIGINALE : arabe
SOUS-TITRAGES : français, anglais, allemand
DURÉE
120’
ANNÉE
2023
RÉALISATION
Mohamed Kordofani
DISTRIBUTION
trigon-film
En 2014, le projet « EverGreen Agriculture » encourage l’utilisation de certains types d’arbres, le Faidherbia albida par exemple, comme fertilisants naturels dans les champs ou les pâturages. La polyculture associant des arbres et des champs est devenue populaire. En Zambie, plus de 160 000 agriculteurs plantent des Faidherbia albida dans leurs champs. Au Niger, ces arbres ont permis de reverdir et de rendre plus fertiles 4,8 millions hectares de terrain.
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